The régulation theory in its original version is marked by (Althusserian) structuralism and then turns its attention to conflicts of interest and dominance relations in association with Pierre Bourdieu’s action theory. The discussion with the economics of conventions and the aspects of it that are borrowed by the régulation theory are aimed at improving comprehension of patterns of institutional change, given that it (also) originates in individual behaviour. Much research on the economics of conventions is thus aimed at a broader approach, and contributes on the one hand to the dilution of the “schools” in the narrow sense, and on the other hand to setting up a forum for sharing work done, which is a major challenge for humanities and social sciences (Eymard-Duvernay et al., 2006). Thus the exchanges between the economics of conventions and the régulation theory have to do with the construction of an action theory associating microeconomic foundations and the structuralist approach (cf. Postel and Sobel, 2006). The same spirit of building a joint edifice is to be found in the work aimed at developing an actor theory common to the economics of conventions and the régulation theory, which Bessis calls a “theory of limited reflexivity”, and which is designed to bring “justified relations” and “power relations” together (Bessis, 2008a). As we can see, convergences are under discussion that go beyond the régulation theory or the economics of conventions, taking each of them separately.
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